Les inquiétudes autour de l’impact des écrans sur le développement des enfants sont monnaie courante, mais de plus en plus de recherches suggèrent que l’utilisation judicieuse des écrans peut être bénéfique.
L’apprentissage interactif
Les écrans offrent une myriade d’opportunités d’apprentissage interactif. Des applications éducatives bien conçues peuvent stimuler la curiosité des enfants, favoriser la résolution de problèmes et renforcer leurs compétences cognitives.
Les écrans comme outils créatifs
L’utilisation de tablettes et d’ordinateurs peut encourager la créativité chez les enfants. Des logiciels de dessin, de montage vidéo et d’édition sonore offrent des plateformes où les jeunes esprits peuvent s’exprimer artistiquement.
La socialisation virtuelle
Les écrans ne sont pas toujours synonymes d’isolement. Les jeux en ligne, les discussions vidéo et les réseaux sociaux modérés peuvent permettre aux enfants de développer des compétences sociales importantes, même à distance.
Accès à l’information et à la diversité culturelle
Internet offre une fenêtre sur le monde. Les écrans permettent aux enfants d’accéder à une richesse d’informations, d’explorer différentes cultures et de développer une compréhension globale de la société.
La modération est la clé
Bien que les écrans puissent offrir des avantages, la modération reste cruciale. Établir des limites de temps d’écran, superviser le contenu et encourager une utilisation équilibrée sont des pratiques importantes pour garantir une expérience positive.
Les écrans pour les enfants
Plutôt que de diaboliser les écrans, il est essentiel de reconnaître leur potentiel positif dans le développement des enfants. En favorisant une utilisation éclairée et en fournissant des directives appropriées, les écrans peuvent devenir des alliés précieux dans l’éducation et l’épanouissement des plus jeunes.
Mon-Psychotherapeute.Com
Cette publication a un commentaire
Comment les parents peuvent-ils être “vigilants et présents” quand le temps d’écran atteint 7h30 par jour comme c’est le cas aux États-Unis pour les 8-18 ans ? Quelle autorégulation, quelle alternance, quel accompagnement (pour reprendre les trois A de Serge Tisseron, l’un des co-auteurs de cet avis) est alors possible ?