Seront accueillies toutes personnes avec une demande, adultes de tous âges, adolescents, enfants accompagnés des parents, couples (dénouage de conflits)

Je reçois au sein de mon cabinet toutes personnes en souffrances.

• Souffrances exprimées par le corps (somatisations) : problèmes respiratoires liés à l’angoisse, maux d’estomac, de ventre, vertiges, céphalées (sans causalités physiologiques), pleurs soudains…
• Souffrances internes : phobie des transports, d’être seul (e) dans la rue, chez soi, peur du regard des autres, du jugement….pensées négatives, dépression, troubles de l’humeur…
• Difficultés relationnelles au travail avec sa hiérarchie et/ou ses collègues, sentiments d’infériorité, harcèlement moral.
• Difficultés avec sa famille ; conflits récurrents avec ses proches, jalousie excessive, perte de l’estime de soi, conflit avec son (sa) conjoint (e), problèmes sexuels, violence conjugale.

Qu’est-ce qu’un cabinet de psychanalyse ?

Le cabinet du psychanalyste est un lieu de paroles, un endroit privé, où les paroles entendues ne pourront pas en sortir, sans jugement ni apriori pas plus que de préjugés je suis dans une écoute bienveillante.

Que se passe-t-il dans une séance de psychanalyse ?

La séance dure 45 mn, (prévoir 1 heure pour le premier rdv)
Je suis dans l’écoute active de vos souffrances actuelles, active veut dire que j’interviens dans la séance.

Le lien qui se développe entre le thérapeute et son patient se nomme le transfert. C’est grâce à lui que va se re-dire votre histoire, et la mise en mots de vos difficultés permettra d’ouvrir un champ de conscience salvateur entrainant l’amélioration durable de votre état de santé.

Les personnes engagées dans une analyse, la font soit assis en face à face avec moi (c’est une psychothérapie analytique) soit allongées sur le divan, c’est une psychanalyse.

Le psychanalyste écoute vos dires et entend vos souffrances. Elles sont en lien avec du déjà vécu, c’est pourquoi il vous semble être souvent dans la répétition d’actes, ou de symptômes sans pour autant en comprendre le sens ni même pouvoir en empêcher leur retour.